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Panier de crabes
Quand Tonton Marcel est obligé de descendre à Nouméa sauver de la destruction une vieille maison coloniale, son séjour dans la capitale nous fait découvrir des personnages haut en couleur qui mériteraient une BD à eux-seuls. Un regard drôle et acerbe sur certains travers de notre société.
Ce récit pose la question de notre relation au passé. Quand le passé se matérialise par un objet aussi simple qu’un bâtiment ancien celui-ci peut devenir un monument.
Individuellement (ici l’individu est matérialisé par tonton Marcel) chacun s’attache à lire son environnement comme un livre qui le relie à ses aïeux.
Collectivement, l’intérêt transforme le roman en livre de compte dans lequel le dernier chapitre se termine par « et ils eurent de nombreux bénéfices… »
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